Barakamon de Satsuki Yoshino chez Ki-oon, 2012
Synopsis de Manga sanctuary :
Seishu Handa, étoile montante de la calligraphie japonaise, collectionne les prix d’excellence pour son travail. Beau et jeune, mais surtout d’une arrogance sans bornes, il met sa carrière en péril le jour où, excédé, il assomme un éminent conservateur de musée qui juge son travail “formaté et sans saveur”… Sanction immédiate pour ce coup de sang : Seishu est puni et contraint d’aller expier son crime sur une petite île, au fin fond de la campagne nippone ! Le jeune citadin, qui espérait au moins pouvoir pratiquer son art dans le calme, ne tarde pas à déchanter : entre les voisins qui débarquent à l’improviste et la bande de gamins qui a choisi son atelier comme terrain de jeu, la partie s’annonce compliquée… Attachants, irritants, farfelus et pleins de vie, les habitants du village vont chambouler son quotidien bien réglé.
Mon avis :
J’ai mis du temps à lire ce manga. Déjà je le confondais avec le manga qui parle d’un mangaka et qui pour moi à un titre similaire. Mais on m’en a parlé comme d’un coup de cœur et ça m’a donné envie de le lire. Bien m’en a pris. Seishu n’est pas un personnage au début très attachant. Il est arrogant, sûr de son talent et complètement hermétique à l’idée de faire autre chose que la calligraphie. Je retrouve un peu d’un manga que j’adore dans celui-ci c’est Yotsuba &. dans celui-ci ce qui va faire qu’on accroche à cette série c’est la confrontation entre Seishu qui veut qu’on le laisse bosser en paix et la jeune Naru qui ne le laisse pas tranquille. Il va peu à peu s’ouvrir à cette vie au village même si c’est contraint et forcé.
Ce manga est un bon manga feel good comme on les aime.
Bonne lecture !