Les sept morts d’Evelyn Hardcastle

La couverture du livre les sept morts d’Evelyn Hardcastle

Les sept morts d’Evelyn Hardcastle de Stuart Turton aux éditions 10/18,2020.

Résumé du livre :

Prêt pour un plaisir de lecture comme vous n’en avez pas connu depuis longtemps ? Mixez Agatha Christie, Downton Abbey et Un jour sans fin… Voici le roman le plus divertissant de l’année !

Ce soir à 23 heures, Evelyn Hardcastle va être assassinée. Qui, dans cette luxueuse demeure anglaise, a intérêt à la tuer ? Aiden Bishop a quelques heures pour trouver l’identité de l’assassin et empêcher le meurtre. Tant qu’il n’est pas parvenu à ses fins, il est condamné à revivre sans cesse la même journée. Celle de la mort d’Evelyn Hardcastle.
Chef d’œuvre de construction, de références littéraires et d’habileté technique, Aiden croisera lapin blanc et personnage masqué pour tenter de percer le mystère de ce meurtre aux mille tiroirs !

Mon avis :

Qui veut tuer Evelyn Hardcastle ? C’est ce que devra découvrir Aiden Bishop. Mais au début Aiden n’en sait strictement rien. Il ne sait qui il est ni ce qu’il est bien venu faire dans cette galère. Tout ce qu’il lui vient à l’esprit c’est un prénom Anna. Il va faire en sorte de protéger Anna, de la trouver et de sortir de cet endroit en sa compagnie. Sauf qu’on lui dit que c’est impossible. Seul un des participants peut partir de cet endroit. Et tous les jours Aiden Bishop se réveillera dans le corps de quelqu’un d’autre. Il devra faire avec. Même si la personnes est impotente, très âgée ou accro aux drogues. Il devra faire également avec les souvenirs des hôtes, de leur amitié ou inimitié et j’e. Passe. Certains seront plus intelligents que d’autre. Tout ce qu’il apprend c’est que dès qu’il s’endort il se réveille dans le corps d’un autre. Lui a un avantage sur d’autre il se souvient de ce qu’il a fait dans les autres corps. Il aura 7 mème jours pour résoudre le crime et ce n’est pas une mince affaire. Surtout qu’à première vue elle s’est suicidée. Cette affaire en appelle une autre la mort du petit frère d’Evelyn quelques années avant. Mais quel est le lien ? Est-ce que celui qui a été accusé pour le meurtre et exécuté était le bon.

Vous mélangez un bon Agatha Christie avec du fantastique et vous obtenez ce savant roman qui vous tiendra en haleine malgré la longueur du livre.

Bonne lecture !

Les folles enquêtes de Magritte et Georgette , t.1 : Nom d’une pipe !

Première de couverture du tome 1 des folles aventures de Magritte et Georgette

Les folles enquêtes de Magritte et Georgette, tome 1 : Nom d’une pipe ! de Nadine Monfils chez Robert Laffont dans la collection La Bête noire.

Résumé du livre :

La nouvelle pépite du cosy mystery dénichée par La Bête noire : Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette !
Une série d’enquêtes inédites menées par le peintre René Magritte et sa femme, Georgette.

C’était au temps où Bruxelles bruxellait…
À l’arrêt du tram, le célèbre peintre René Magritte, chapeau boule, costume sombre et pipe au bec, a une vision étrange : une jeune femme en robe fleurie, debout à côté de son corps ! Il en parle à Georgette, son épouse, et immortalise la scène dans un tableau. Quelques jours plus tard, cette femme est retrouvée assassinée, avec une lettre d’amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas sous sa robe.

« J’ai beaucoup d’admiration pour l’ensemble de l’œuvre de Nadine Monfils. Elle est complètement déjantée et j’aime les gens qui ont un grain de folie. » Michel Bussi

Mon avis :

Magritte et sa femme qui joue aux détectives, ça c’est pas bête. Après Elizabeth II qui enquête. On continue avec des personnes qui ont vraiment existé.

À l’arrêt d’un tram, Magritte voit une femme avec une robe fleurie et son corps à côté d’elle.

Dans ce livre nous avons beaucoup d’idée de Magritte tout comme celle de Jacques Brel. L’autrice s’est appuyée sur les témoignages des deux artistes. Elle a même pu rencontrer sa femme. C’est plein d’humour. Par exemple la femme de ménage de Magritte est plutôt une vérificatrice des travaux finies. En effet la femme de Magritte fait le ménage et la femme de ménage vérifie son travail. Mais pour Georgette (le femme de Magritte) c’est plus pour parler des ragots des autres familles. On en apprend plus aussi sur Magritte notamment le suicide de sa mère et le remariage de son père peu de temps après. Je ne sais pas si c’est vrai mais il peignait dans son salon. Il ne voulait pas d’un atelier.

En tout cas ce livre est le premier tome d’une série qui m’a beaucoup plu. On a de l’humour, un peu de cosy crime, des personnes célèbres, et Bruxelles qu’on voudrait visiter.

Colocs (et plus)

Première de couverture du livre Colocs (et plus)

Colocs (et plus) d’Emily Blaine chez Harper Collins, 2018.

Résumé du livre :

La plupart des hommes se divisent en deux catégories :
Les
serial lovers à mémoire de poisson rouge – ceux qui notent le prénom de leur conquête d’un soir sur la paume de la main pour être sûrs de ne pas l’oublier au réveil.
Les
idiots qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez – ceux qui promettent de ne jamais toucher à la sœur de leur meilleur ami
 
Connor n’échappe pas à la règle : il réussit même l’exploit de faire partie des deux catégories à la fois. Connor, c’est le meilleur ami de mon frère. Le mec le plus canon que j’aie jamais rencontré. Et accessoirement l’heureux élu avec qui (je me suis honteusement envoyée en l’air) j’ai passé un délicieux moment lors d’une soirée très arrosée à la tequila. Une nuit intense, passionnée, mémorable… suivie d’une douche froide quand il a compris qui j’étais et qui j’allais devenir – sa colocataire.
Depuis, j’ai découvert qu’il appartenait en fait à une troisième catégorie : les serial lovers idiots qui n’assument pas leurs erreurs nocturnes, mais qui vous font des pancakes en boxer dès qu’ils en ont l’occasion…

Mon avis :

Pas facile pour un coureur de jupon qui passe sa vie à baiser des femmes. Jamais deux fois la même avec rare exception. Un jour où au bar il se fait accoster par une femme. Il n’en faut pas plus pour passer un très bon moment dans la voiture de ce dernier.

Connor a un pacte avec son meilleur ami. On ne touche pas à leurs sœurs. Chacun des deux en a une.

Sauf que quelque temps après il apprend que son merveilleux coup d’un soir était pas la sœur de ce dernier. Il l’a connu jeune mais ne l’a pas revu depuis. Il a brisé le pacte sans le savoir. Mais en plus il va devoir cohabiter avec elle le temps de ses études d’infirmière.

À côté de ça Maddie (la dite sœur) ne comprend pas l’attitude de son colocataire Connor. En plus pour ne rien arranger monsieur est mignon mais il l’a fuit comme la peste.

Les deux vont devoir apprendre à cohabiter ensemble.

On suit les deux protagonistes à travers les chapitres. D’abord nous sommes dans la tête de Connor et le chapitre suivant dans celui de Maddie.

Ça peut perturber parfois mais je vous rassure on s’habitue vite surtout que l’autrice m’avait déjà fait le coup avec la crêperie des petits miracles.

Autrice française qui a une page Instagram et a l’air très sympathique.

Les deux seuls bémols c’est que Connor n’attend même pas le consentement de Maddie pour danser avec elle, et un soupçon de grossophobie quand il lui fait remarquer qu’on voit qu’elle aime ses macaronis au fromage.

Attention ce livre devrait vous émoustiller. Je vous conseille de le lire près de votre partenaire sexuel pour faire un peu descendre votre libido.

Bonne lecture !

La meilleure d’entre nous

La première de couverture du poche la meilleure d’entre nous

La Meilleure d’entre nous de Sarah Vaughan chez le Livre de poche, 2017.

Résumé du livre :

« N’oubliez pas : la pâtisserie est une preuve d’amour. » Kathleen Eaden, L’Art de la pâtisserie, 1966.

Angleterre, de nos jours. Le concours pour élire la nouvelle Kathleen Eaden a commencé ! Cinq candidats sont en lice, réunis par une passion commune. Mais la confection d’un cheesecake ou d’un paris-brest ne suffit pas toujours à faire oublier les blessures et les peines. Jenny, la cinquantaine tout en rondeurs, délaissée par son mari ; Vicki, qui aspire à plus qu’à élever son petit Alfie ; Claire, la jeune caissière mère célibataire qui ne rêve même plus d’une autre vie ; Karen, dont l’apparente perfection dissimule bien des secrets ; sans oublier Mike, veuf en pleine thérapie culinaire… Au cours d’une compétition aussi gourmande qu’échevelée, tous apprendront que l’art de la vie est au moins aussi difficile que celui de la pâtisserie. Généreux et inspirant, bourré d’émotion et d’humour, un premier roman à dévorer d’une seule traite, peuplé de personnages irrésistibles. Une déclaration d’amour à toutes les saveurs de la vie !

Mon avis :

Alors j’ai beaucoup aimé ce livre. Lors d’un concours de cuisine des personnes un peu paumés par la vie se retrouve pour concourir. Les autres participantes (il n’y pas qu’un homme dans le lot) ne se doutent pas au premier abord que tout le monde est paumé. Jenny qui est complètement délaissé par son mari et ses filles qui ont quitté le nid et ne sais pas s’occuper d’elle sans s’occuper des autres. Vicki qui a complètement tiré un trait sur sa carrière d’institutrice modèle pour être une mère modèle pour son fils mais qui galère un peu et qui ne veut pas reproduire l’attitude de sa mère. Claire Mère célibataire d’une adorable petite fille mais qu’elle a eu jeune. Elle doit jongler avec ses peu de moyen pour élever sa fille en l’absence du père. Karen qui a l’air parfaite mais qui cache beaucoup beaucoup de chose. Et nous avons le grand oublié des personnages Mike veuf avec deux enfants et qui veut se prouver qu’être « père célibataire » qu’il était un bon père. Et tout ce petit monde va participer à la compétition et en même temps on suit aussi leur vie avant le programme pour certains et pendant le programme. Le concours passe sur You Tube mais pas à la télé. Le gagnant sera une sorte de modèle pour un centre commercial un peu au style du Bon marché je dirai. C’est des centres commerciales un peu haut de gamme. D’ailleurs Claire n’est pas une cliente mais une caissière d’un des centres.

En même temps que le concours on suit aussi la vie de Kathleen Eaden qui essaye de garder un enfant à terme. Kathleen Eaden qui pour tous avait une vie parfaite et qui était la femme du fondateur de la marque.

On voit à travers ce livre que pas mal de gens ont des problèmes et que le manque de ressources n’est pas le seul problème. En même temps d’une certaine façon tout va se régler même si c’est parfois à l’abri des regards.