Sang bleu de Caroline Graham chez Pygmalion,2003
Résumé de l’éditeur :
Max Jennings, célèbre écrivain, accepte de participer à une réunion du Cercle des Écrivains de Midsomer Worthy. Ses membres en sont ravis, sauf l’un d’eux, qui semble, au contraire, craindre la venue du grand homme. Le lendemain, il est retrouvé mort, le crâne défoncé. L’inspecteur Barnaby n’exclut pas l’existence d’un lien entre les deux événements. Au fil de l’enquête se dessine le portrait d’un ami secret, d’un voisin ombrageux, d’un séducteur sans liaison. Qui pouvait en vouloir à un homme que personne en réalité ne connaissait ? L’affaire se complique lorsque Max Jennings disparaît mystérieusement…
Mon avis :
Un très bon Barnaby. Que dire de plus ? Gerald se fait tuer. Avant ça il avait grand peur de retrouver Max Jennings. Il a dû l’inviter suite à la demande du groupe d’écriture auquel il appartient. Il a demandé à l’un deux de ne jamais le quitter tant que Max sera là. Manque de pot, dès qu’il est parti, Max a fait croire qu’il a oublié quelque chose pour revenir. Le lendemain, Gerald est retrouvé mort. Le monsieur chargé de lui servir de garde du corps va se sentir très coupable.
Les différents membres du groupe sont : une aristocrate qui veut absolument écrire sur sa famille ; sa belle-soeur qui fait une sorte de roman à rebondissement, une sorte de soap en livre ; un amateur d’armes et de guerre qui écrit sur le sujet ; une illustratrice qui a inventé un dragon ; son mari qui écrit des pièces de théâtre et professeur de métier ; Une antiquaire qui ne s’est inscrite que pour voir Gerald, dont elle est tombée follement amoureuse.
On retrouve dans ce tome les libraires qui avaient comme hobby de s’occuper de l’éclairage des pièces amateurs d’un épisode précédent. Troy y est beaucoup plus humain, il serait presque devenu sympathique. Barnaby est très en colère contre les gens de « la haute ». Malheureusement pour lui un de ses adjoints, un certain Meredith, en est.
Je vous conseille de lire celui-ci, même si vous avez vu l’épisode télévisé. Le lire est encore mieux.
Bonne lecture !